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Admin SAE

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Misant sur l’immobilier, la finance et le tourisme, l’émirat de Dubaï fonde son ascension économique en moins de dix ans. Il est, dés lors, considéré comme un acteur majeur de la place économique mondial, le rendant fortement dépendant de la conjoncture internationale. C’est ainsi que la crise des subprimes et l’effondrement de Lehmann Brothers en 2007 ne tardent pas à plonger l’émirat dans une crise financière sans précédant atteignant son point culminant en 2009. Les emprunts massifs contractés par les plus importantes entités de l’Etat tels Dubaï World et Nakheel pour financer des mégas projets commerciaux et résidentiels ont concourut à l’éclatement de la bulle immobilière ; faisant trembler plusieurs marchés internationaux et menacé de faillite l’émirat entier. Laissé pour agonisant, qu’en est-il advenu, aujourd’hui, pour cet oasis du Moyen-Orient, souvent affilié à la « Suisse » du Monde Arabe ?

A l’image d’un dirigeant d’entreprise exposé au risque imminent de banqueroute, l’Emir Mohammed Ben Rashid fait preuve de volontarisme politique, qui conduira à la reprise de la croissance rappelant même les années de boom économique. Déblocage de crédit en provenance de son voisin Abu-Dhabi pour couvrir une partie des dettes, négociation de rééchelonnement de ses dettes auprès de ses créanciers et appui sur d’autres leviers économiques tels que le tourisme et le commerce sont autant de facteurs conjurant la crise.

Mais apprendre de ses erreurs semble figurer parmi les devises de l’émirat, puisque la diversification de l’économie constitue aussitôt l’objectif de la région. Consciente des prévisions de raréfaction des réserves pétrolières et des incontournables défis auxquels elle doit faire face pour s’aligner sur le marché économique mondial, cette dernière poursuit sa politique de grands projets en faveur des nouvelles technologies, et relance, de plus belle, le tourisme et le commerce. Elle accompagne cette reprise par le développement d’infrastructures de communications, d’accueil, de transport et de loisirs. Dubaï s’érige en plateforme imparable du commerce internationales. Maintenant dans sa politique son extrême volonté d’attirer les capitaux étrangers, elle se consacre davantage à l’édification de zones franches ; à l’instar de la célèbre Dubaï Internet City spécialisée dans les TIC, d’autres zones franches voient le jour, notamment dans le secteur de la médecine et de la recherche biologique. Dubaï prend également part dans le domaine de l’humanitaire avec l’instauration de la cité humanitaire internationale. De quoi redorer son blason et contribuer à l’élargissement de son assise internationale.

Par ailleurs, plusieurs projets sont annoncés depuis 2012, comme la cité Mohammed Ben Rashid ambitionnant de dépasser en superficie le célèbre Hyde Park de Londres, des centaines d’hôtels ainsi que des parcs à thème. Plus visionnaire que jamais, la cité-état projette de préparer le temps de l’après pétrole en se concentrant sur les dérivés pétroliers et la sidérurgie. Aspirant à braver tous les gages de la mondialisation, Dubaï s’engage à devenir le leader des destinations touristiques et poursuivre la croissance des aéroports et du commerce de détail pour détenir la première place du rang mondial. Des ambitions qu’elle s’apprête à concrétiser puisqu’en 2012, elle est considérée comme l’économie la plus compétitive du Moyen-Orient.

Des projets et des perspectives d’avenir qui indiquent indubitablement une bonne santé économique, une stabilité politique et une liberté sociale, rarement atteinte dans les autres pays islamique. Sa sélection comme ville organisatrice de l’exposition universelle de 2020 face au Brésil, à la Turquie et à la Russie témoigne de l’unanime reconnaissance internationale. Additionné aux facilités octroyées aux investisseurs étrangers telles que les zones franches organisées par secteurs ou encore la possibilité de faire des affaires sans s’allier aux partenaires locaux lui vaut un environnement d’affaire des plus attrayant sur la scène mondiale.

Par : Alexandrina Iremciuc

Selon le Crescent Rating [1], une organisation musulmane qui promeut les voyages halal, le tourisme islamique représente un chiffre d’affaires de 113 milliards de francs suisses en 2011 et pourrait même atteindre près de 200 milliards d’ici 2020. La Suisse, pour laquelle le tourisme est la troisième industrie nationale, œuvre depuis des années déjà pour attirer le « tourisme voilé » et depuis un peu plus d’une décennie elle y arrive, et notamment à Genève qui fait figure de pionnière.

Tout a commencé dans les années 2000 avec le séjour du roi Fahd d’Arabie dans une vaste propriété qu’il possède en campagne genevoise. Ensuite, ont suivi les princes et l’entourage de l’émir du Qatar. Puis, pendant la guerre du Liban, les hommes d’affaires du Golfe et leurs familles ont préféré les rives tranquilles du Léman. Depuis, un séjour après le Ramadan est devenu un must pour la bourgeoisie moyenne-orientale , comme l’illustre les 80% d’augmentation de nuitées à Genève. C’est dire que le « tourisme voilé » est désormais la poule aux œufs d’or de l’hôtellerie suisse.

En été, devant les palaces de la ville situés au bord du lac Léman, il est fréquent de voir des touristes arabes admirant la vue et profitant de la fraicheur du lac, pendant que leurs enfants commandent des glaces aux divers parfums. Les prestations de service de certains palaces sont adaptées à la clientèle moyenne-orientale qui mettent à disposition tapis de prière avec boussole intégrée et un Coran, tout comme une grande diversité de jus de fruits dépourvus d’alcool. Certains hôtels de luxe vont encore plus loin, mettant à disposition de leur clientèle fortunée une cuisine halal, la possibilité d’avoir un personnel exclusivement féminin dans les spas et pour le service de chambre, ou encore en vendant dans leurs boutiques des burkini (burka-maillot de bains).

Deux événements, en particulier attirent le tourisme arabe à Genève : le Salon international de l’automobile et les Fêtes de Genève.

La clientèle moyen-orientale apprécie particulièrement à Genève le climat : pouvoir se balader au bord du lac à pieds plutôt qu’en voiture climatisée n’a pas de prix, tout comme le shopping dans les boutiques de luxe. Les magasins genevois proposent des heures d’ouverture exceptionnelles et privées, pour attirer cette riche clientèle et les restaurants se donnent à cœur joie pour leur proposer des plats aux saveurs préférées de ces clients privilégiés, soient-ils halal ou juste des adaptations des concepts de restauration de monde. Quant aux fleuristes, ils épuisent volontiers leurs stocks pour embellir les chambres d’hôtels de luxe et les tables de ces invités d’honneur.

La clientèle moyenne-orientale est également très sensible aux plaisirs offerts aux enfants et aux attractions proposées dans le cadre des Fêtes de Genève, ce qui ont fait de précieux adeptes pour les organisateurs, au point qu’une année la date de celles-ci a même été reportée en raison du Ramadan afin de pouvoir compter sur leur présence.

Chaque année, Genève se plie en quatre pour plaire à ces touristes de marque qui, pendant les quelques jours du Salon de l’auto et des Fêtes de Genève, transforment l’atmosphère de la ville. Ils le valent bien, dit-on, ce sont aussi eux qui enrichissent le prestige de la Genève Internationale.

Mais Genève n’a aujourd’hui plus le monopole du « tourisme moyen oriental ». Interlaken, dans les Alpes bernoises, a aussi misé sur ce nouveau tourisme. L’hôtel Métropole y reçoit régulièrement des touristes arabes à raison de 40'000 nuitées par année en moyenne [2]. L’hôtel offre des prestations à la hauteur de la richesse de ses clients, comme l’illustre, par exemple, la croisière en bateau sur le lac de Brienz suivie d’un barbecue halal qui leur est proposée.

Avec des atouts pareils, la Suisse ne craint guère la concurrence du tourisme certifié « 100% halal », - qui se développe actuellement un peu partout dans le monde à l’instar de la Turquie ou du Liban. Le tourisme arabe y a encore de beaux jours devant lui.

[1]http://www.crescentrating.com

[2]http://www.24heures.ch/vivre/societe/hotels-suisses-seduisent-musulmans/story/16987688?dossier_id=1860#clicked0.6901863676030189

 

 

 

*By Ayman Abualkhair

 

The Arab world, home to more than 360 million people, with a Gross Domestic Product of around $2.8 trillion, is playing a greater role in the world economy.

Abundant revenues from oil and gas have helped the region amass enormous wealth, which, if invested wisely will be the cornerstone of diversifying local economies.

Arab countries, led by the GCC states, have the largest sovereign wealth funds in the world, with total assets estimated at about $2 trillion (38% of the total world assets).

Investment in the region has increased from $6.1 billion in 2000 to $79.3 billion in 2009, an amount comparable to that of China ($95 billion in 2009). An ongoing pattern of global economic growth, coupled with the fact that emerging economies grow much faster than their advanced counterparts, and the shift in global economic power, will make the Middle East and Africa the fastest growing regions in 2018. This projected growth, however, would require significant investments mainly in infrastructure, renewable energy, health and education, to name a few.

With more than 135 million internet users in the Arab world, a new generation of tech savvy entrepreneurs is emerging. This region is expected to post robust growth over the next decade both in terms of population and GDP. By 2015 the Arab population is forecast to reach 371m, about 50% increase over the level in 2000. Meanwhile, real GDP (based on PPP) is expected to grow by a staggering 190%.

The economic struggle

Improving business conditions in the region and attracting new investment are on top of local governments’ agenda. The battle is now between economic ministers and government entities to create and sustain the most competitive, growth-oriented economy.

In fact, it was The Economist who predicted that “war will break out in 2011 not on the battlefield, but in finance ministries eager to climb the ranks of the world’s most business-friendly economies”.

This what exactly the Arab world needs in these extremely challenging times. In recent years, a number of Arab governments implemented regulatory reforms aimed at improving business environments at home. Investing the Arab funds locally and attracting FDIs are absolutely crucial in order to satisfy the increasing needs for infrastructure, transport, education, health care, housing, business services, logistics, agriculture, oil and petrochemicals, financial sector, defense, industrial output as well as Islamic products.

Several Arab governments implemented regulatory reforms in the past years aimed at improving the business environment for local entrepreneurs, according to Lopez-Claros, Global Indicators and Analysis, World Bank. Most MENA countries offer corporate tax holidays ranging between 2 years in Jordan and 20 years in Egypt, with the option to be extended in the case of supplementary investments.

Export/free zones (FEZs) are also common in the MENA region. Doing business in free zones, mainly in the Gulf, gives businesses large and small access to some of the world’s most prominent infrastructure and tourism hotspots.

The stock markets in the Arab world offer big opportunities as well. The well-known magazine Forbes Middle East has described the Arab stock markets as witnessing robust growth from 2013 to date, and the economic outlook for Middle Eastern countries as being bright. Capitalisation in the Middle East and North Africa (Mena) stock markets is only 2% on a global scale thus offering abundant opportunities for investment in the region, particularly but not exclusively in the UAE, Qatar, Morocco, Egypt and Saudi Arabia.

The Saudi stock exchange, which opened to international investors in 2015, is particularly interesting because its stock market (Tadawul) is the largest in the Middle East with $580 billion market capitalization (ca 1% of world’s stock market), compared to the cumulated market capitalization of United Arab Emirates’ (UAE) Dubai and Abu Dhabi of around $245 billion and Qatar of about $200 billion (Persian Gulf Fund).

 

Renewable Energy: The “Green Petrol”

There is also a rising demand for green energy in the region, from the Arabian Gulf all the way through to Africa and the wider Middle East.

Electricity demand is expected to increase by 84% in 2020 compared to 2010 levels, which would require an additional 135 GW of generating capacity, the equivalent of about $450 billion investment. For the first time, Arab governments have come to a broad political consensus by adopting a strategy for the development of renewable energy, which will increase installed renewable energy power generation capacity in the region from about 12 GW in 2013 to 75 GW by 2030. The contribution of renewable energy to total electricity generation is projected to reach between 4.7% and 9.4% by 2030. This energy will be necessary to satisfy mainly the needs in cooling and heating.

Islamic Economy: A New Horizon

Ten out of 30 countries with large Muslim populations have some of the world’s fastest growing emerging markets. The driving force of the Islamic economy is its population of about 1.6 billion, which is expected to rise to 2.2 billion by 2030. Furthermore, the majority of Muslim populations are structurally young: people under the age of 30 make up about 60% of the population and have significant purchasing power.

According to a report released by Thomson and Reuters “State of the Global Islamic Economy 2013”, the total size of the global Islamic economy is expected to reach over $6 trillion in 2018, with major sectors including finance and insurance, halal food, halal pharmaceuticals and cosmetics, modest clothing, Islamic values-influenced travel and media as well as recreation sectors.

Islamic Finance, currently, valued at over $ 1.2 trillion, is expected to more than double in size by 2017, reaching $ 2.7 trillion. Halal food industry and Islamic friendly family holidays are growing in popularity as well. The collective global Muslim food and non-alcoholic beverage (F&B) market is larger than F&B consumption of China, while Muslim tourists spent $137 billion on travel in 2012 and already account for more than 12.5% of global tourist spending. This sum is expected to grow to $181 billion by 2018.

Muslim consumers globally spent $224 billion on clothing & footwear consumption in 2012 (10.6% of global expenditure) and this is expected to grow to $322 billion by 2018(second after the United States). Geographically, Asia and Africa are expected to contribute significantly to the growth of the Islamic Economy, with approximately 95% of the global Muslim population expected to move to these regions by 2030.

However, despite its numerous advantages, the Arab world is still reeling from the ongoing political turmoil in the region. The absence of a demonstrated international competitiveness in both manufacturing and services as well as corruption constitute one of the main obstacles for doing business. Institutional reform, capacity building, reforming the education and the regulations facing business remains essential. Moreover, the Arab world needs to create a dynamic private-sector in order to create sufficient employment. This will be done through high competitiveness, an educational system which meets the labour markets’ needs, and through encouraging applied sciences to transform ideas into real business projects, as well as through more consolidated trade and economic relations with the rest of the world.

If the Arab region’s employment challenge can be successfully addressed, the region’s young demographic could then turn from a potential liability to a significant advantage. Now is the time to invest in the region, not only because of the high return on investment it can offer, but also because the birth of the new economic paradigm, the future “G7”.

 

*Mr. Ayman Abualkhair has a master in environmental economics and natural resources from “Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales” in Paris. He has worked during 8 years for the promotion of Arab-Swiss economic relations at the Arab-Swiss Chamber of Commerce and Industry. He is the founder of the Swiss Arab Entrepreneurs Platform.

 

Read also: Swiss-Arab Trade Partnership in the digital age

 

Swiss Arab Entrepreneurs Platform:

The gateway for doing business between the Arab world and Switzerland

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Par: Olivier Rigot

La décision de la Banque Nationale Suisse (BNS) d’abandonner le 15 janvier dernier le taux plancher établi en 2011 à Chf 1,20 contre euro a fait couler beaucoup d’encre récemment. Il nous paraît important de revenir sur ce sujet que nous avons abordé à plusieurs reprises dans nos publications ces dernières années car de nombreux aspects liés à cette décision récente n’ont pas été traités. En préambule, nous rappellerons que nous avons été de fervents critiques de cette politique interventionniste sur le marché des changes qui devait demeurer temporaire dans le temps et qui, finalement, s’est révélée un piège dont la seule porte de sortie a été la décision annoncée en catastrophe un jeudi en milieu de matinée en plein négoce sur les marchés financiers. La BNS a réussi en l’espace de quelques heures à créer un choc déflationniste pour l’économie suisse alors que toute sa politique était destinée ces dernières années à contrecarrer la survenance d’un tel risque.

Par: Alexia Michiels*

Les salariés sont plus motivés qu’ils ne l’étaient il y a 4 ans mais le prix à payer est élevé, d’après une nouvelle étude du Resilience Institute. Le temps est venu pour les dirigeants de créer un environnement de travail qui favorise la performance tout en stimulant le bonheur et le bien-être des collaborateurs.

L’étude réalisée entre 2011 et 2014 sur plus de 13 000 salariés de 250 entreprises en Europe, Australie et Asie mesure les facteurs liés à la résilience. Le Resilience Institute définit les personnes résilientes comme faisant preuve de

  • Rebond - ténacité et capacité de rebond face à l’adversité
  • Courage - enthousiasme face aux changements et défis
  • Créativité - développement des talents et des opportunités
  • Connexion - humilité, respect et bienveillance vis à vis des autres et de la nature

Entre 2011 et 2014, le nombre de personnes qui trouvent leur job “extrêmement motivant” a augmenté. Bien que cela soit une excellente nouvelle pour les employeurs, les DRH et les organisations en général, les employés sont aussi dans le même temps moins résilients...

Les données recueillies ces 4 dernières années indiquent une tendance négative des facteurs de résilience relatifs au bien-être tant mental que physique. 


En général, les collaborateurs se sentent moins alignés avec leurs valeurs personnelles, ils se sentent submergés par un sentiment de confusion. La qualité de leur sommeil et de leur nutrition en est négativement affectée. Ces données nous montrent aussi que les collaborateurs s’inquiètent davantage à propos du futur.

Quand les collaborateurs sont très motivés et engagés dans leur activité professionnelle, ils peuvent se faire prendre au piège de cycles de travail ininterrompus. Nous savons que cela réduit la productivité et mine la résilience individuelle.

L’étude du Resilience Institute montre aussi que les risques de burnout sont corrélés à de bas niveaux de résilience. Le burnout a un impact négatif très important sur les résultats d’une organisation en augmentant l’absentéisme et en diminuant la productivité, et a un coût humain très lourd pour la société. D’après l’enquête de l’Institut Think pour Great Place to Work (www.greatplacetowork.fr), près d’une personne sur cinq risque de souffrir de dépression ; les organisations qui cherchent à développer la productivité et la motivation de leurs collaborateurs auraient tout intérêt à se donner les moyens de développer leur résilience.

L’étude montre qu’en ce qui concerne la résilience, mental et physique vont de pair. Prendre soin de son mental et de sa condition physique (attention, concentration, exercice, nutrition, sommeil) est ce qui a le plus d’impact sur les niveaux individuels de résilience.

Les organisations doivent donc contre balancer la pression à la performance par un investissement dans les compétences de résilience de leurs équipes.

Pour l’individu et l’organisation, l’intégration d’approches visant à mieux gérer l’énergie physique, mentale et émotionnelle est la meilleure garantie de faire face aux défis du monde actuel dans un contexte de performance durable.

L’analyse des données confirme que les programmes d’accompagnement proposés par le Resilience Institute portent leurs fruits. Une évolution très significative de la vitalité physique et du niveau de concentration des salariés se vérifie à la lecture des post-diagnostics de résilience effectués 3 à 6 mois après la phase ateliers. D’une manière générale, les programmes renforcent l’engagement sans mettre en péril l’équilibre des salariés.

Pour plus d’infos, contactez Alexia Michiels : This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.

www.resiliencei.com

*Alexia Michiels: D’origine belge et basée à Lausanne, Alexia est co-fondatrice du Resilience Institute Europe. Elle accompagne les leaders et leurs équipes afin de créer une culture résiliente au sein de leur organisation, favorisant à la fois l’épanouissement personnel et la performance. Passionnée par l’approche intégrale et pratique du Resilience Institute, Alexia est une consultante dynamique, mariée et maman de 4 enfants.

Saudi Arabia identifies over $400bn worth of foreign investment

Saudi Arabia has identified over $400 billion worth of opportunities for foreign investors, as the Kingdom forges ahead with plans foreconomic transformation.

Saudi Arabia has identified over $400 billion worth of opportunities for foreign investors, as the Kingdom forges ahead with plans foreconomic transformation.

With the halving of oil prices since June last year, the Saudi government is seeking to create a new generation economy by better developing its non-oil sectors and attractingnew foreign investment.

Historically, the oil-rich Gulf Arab state has relied on exports of crude oil and refined petroleum products to support its economy. But as the oil price shows no signs to recover any time soon, with some indications pointing to it never reaching the $100 mark again, not at least in the short-term, Saudi Arabia is becoming ever more cognisant of the need to expand its means of income.

Masdar announced that it has teamed up with BP and the Masdar Institute to launch The Catalyst, an “accelerator” initiative aimed at developing businesses focused on sustainability and clean-tech.

According to Oxford Business Group, Jordan looks ahead to renewable options. Jordan is working on plans to significantly boost its energy independence over the coming years with a range of renewable power projects, including the largest solar power plant in the region.

Palestinian Industrial Estates and Free Zones Authority announces the completion of PALOLEA Olive Leaf Extract factory at JAIP.

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