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High-Tech

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Un combat diplomatique et judiciaire. La Chine a instauré samedi un mécanisme lui permettant de restreindre les activités d'entreprises étrangères au lendemain de l'annonce par Washington de l'interdiction de télécharger à partir de dimanche TikTok et WeChat, nouvelle escalade dans le bras de fer avec Pékin sur le sort des deux applications.

La liste chinoise « d'entités non fiables » - dont les noms des sociétés étrangères visées n'ont pas été rendus publiques - comprend des sanctions potentielles allant d'amendes à la restriction d'activités ou d'entrée de matériel et de personnel en Chine.

TikTok a de son côté demandé à un juge américain de bloquer l'interdiction de téléchargement, assurant présenter les garanties maximales pour respecter la sécurité et la vie privée des usagers américains.

La décision de l'administration a été prise « pour des raisons politiques » et non en raison d'une quelconque menace pour la sécurité du pays, estiment TikTok et sa maison mère dans une plainte déposée tard vendredi auprès d'un tribunal de Washington.

Et si l'interdiction de téléchargement est maintenue, elle détruira « de façon irréversible » l'activité de TikTok aux Etats-Unis, où l'application compte 100 millions de membres, prévient la plainte.

TikTok accusé d'espionnage industriel pour le compte de Pékin

Washington a cependant laissé une porte ouverte à TikTok, application très populaire auprès des jeunes permettant de produire de courtes vidéos, en lui laissant jusqu'au 12 novembre avant de lui interdire complètement d'opérer sur son sol. Ses usagers actuels ne pourront simplement plus faire de mise à jour.

Les tensions entre les deux géants économiques sont allées crescendo depuis le mois d'août quand l'hôte de la Maison Blanche a posé un ultimatum à TikTok, qu'il accuse d'espionnage industriel pour le compte de Pékin, sans toutefois avoir rendu de preuves tangibles publiques.

Il a donné à ByteDance jusqu'au 20 septembre, soit dimanche, pour céder ses activités TikTok sur le sol américain à une entreprise « made in US ». Mais les négociations n'ont toujours pas abouti.

« Nous avons donc d'excellentes options »

Un premier projet impliquant Microsoft et le géant de la distribution Walmart avait été retoqué par la Chine le week-end dernier. Lundi, le secrétaire américain au Trésor, Steven Mnuchin, avait officialisé le nom d'un autre nouveau potentiel partenaire : Oracle, basé en Californie.

Certains médias évoquent une prise de participation minoritaire (jusqu'à 20 %, selon CNBC) par Oracle, spécialisé dans les logiciels et services à destination des entreprises.

La maison mère chinoise ByteDance conserverait une participation majoritaire. Le géant des supermarchés Walmart a en outre fait savoir qu'il pourrait faire partie du nouveau projet. « Nous avons donc d'excellentes options », a réagi vendredi le président américain.

Un comité de sécurité nationale du gouvernement américain est chargé d'examiner l'offre sur la table tandis que les législateurs républicains ont mis en garde contre le feu vert à un accord qui laisserait l'entreprise sous contrôle chinois.

La source: LeParisiene

Par Ayman Abualkhair

 

(English)

 

Nous vivons une période très spéciale, étant donné que l'épidémie de COVID-19 a atteint 177 pays et régions et qu'elle se propage dans le monde à un rythme imprévisible.


Cette crise a révélé notre faiblesse en tant qu'êtres humains, les déséquilibres qui existent dans de nombreux domaines de notre vie et la nécessité de revoir sérieusement notre façon de vivre. Elle montre plus particulièrement l'invalidité du principe «chacun pour soi», qui n'entraîne le bien-être de personne.


Cette crise montre l'unité du destin de l'humanité et de la fraternité humaine d'une manière sans précédent. Le risque auquel est confronté un individu ou une communauté peut toucher tout le monde, quels que soient les lieux, les ethnies ou les affiliations nationales et religieuses.

Le coronavirus a complètement changé notre mode de vie, ce n'est plus comme avant: files d'attente pour les courses, plus de rassemblements à l'école, plus d'enfants qui jouent dans la cour de récré, plus de réunions au travail, plus de célébrations de masse, plus de contact physique avec des amis ou même avec des proches... Le coronavirus a interdit toutes sortes de rassemblements humains!. Chacun doit craindre pour sa propre personne, nous vivons des moments difficiles. Mais cette pandémie offre également à chacun la possibilité de réfléchir profondément à sa vie, à ce qu'il a fait et à ce qu'il devrait faire aujourd'hui et demain. La vraie question qui s’impose: pourquoi nous ne sommes pas préparés à ce virus pandémique, alors que nous avons accumulé des connaissances scientifiques sans précédent dans de nombreux domaines?!. Bill Gates a déclaré en 2015, lors d'une conférence TEDX, que le véritable danger pour l'homme n'est pas une bombe atomique mais plutôt un virus! Il n’y a pas de doute, nous devons investir davantage de ressources dans la protection de la santé et le bien-être de l'être humain.

Les conséquences catastrophiques de coronavirus sur l’économie mondiale nécessitent des actions immédiates de la part des décideurs du monde entier, pour protéger les économies locales, principalement les PME, contre l'effondrement.


J'espère que cette crise mondiale sera un catalyseur pour un travail collectif afin de réaliser un avenir meilleur pour tous.


Restez en sécurité, restez à la maison!

More than three months on since the emergence of the coronavirus, talking about the high demand for products of the digital economy is no longer a predictive matter, but rather a reality. Since the first half of February, the Hong Kong Stock Exchange has displayed huge gains.

It’s not only Chinese companies active in the digital economy who have made gains, but also the shares of digital companies situated around the world. All of this is quietly sneaking under the radar of global news outlets who favor darker news. Those unhelpful bulletins initiate a sense of "panic" that limits the ability of startup owners and small businesses to think about the possibility of adapting and exploiting opportunities presented by these temporary conditions.

Nationwide lockdowns have led to the necessity of searching for alternative services that can be provided through smart phone applications and online platforms. Economists have tried to explain away the gains of digital companies, as a result of these new realities. However, since the coronavirus pandemic is not the end of the world, the emergency situation will soon disappear, just as is the case in China. Life in the Chinese province of Hubei (which was the initial epicenter of the spread of the coronavirus pandemic) is returning to normal, so does this mean that the markets will later suffer a correction within a few months, at the least, within a year? As far as equipment and medical clothing companies are concerned, the most likely hypothesis is that demand for their products will decrease with the decline of the virus spread. As for digital companies, it is likely that they will continue to grow. This hypothesis can be adopted for the following three reasons:

 

First: the growth of unconventional services via Internet

During the last few months, a group of online services that did not exist before and others that were less common in lower-demand markets for digital services appeared. One such service is provided by Peloton for home training bicycles, which has the advantage of communicating with other trainees via the internet. Demand for this service has increased by more than 50% during a record period, as well as the group viewing service launched by Netflix as an alternative to the cinemas that have closed their doors. We’ve also noticed a huge growth in telemedicine services. In this regard, it is expected that coronavirus will push people towards digitization at a rapid pace, which will lead to a shift in the health sector environment to become more digitized. Telehealth in a number of countries, especially Western ones, may not be new. The United States, for example, is already advanced in the process of digital transformation in the field of healthcare. But what’s changed is the speed and comprehensiveness of this transformation. The concept of digital health care is now spreading to new markets, such as across the Arab peninsula where telehealth is still an unconventional service.


Second: Investing in digital transformation

Despite the digital transformation underway at many companies around the world, the vast majority of companies still rely on the traditional work environment which lacks the flexibility to continue working under the current circumstances. This has forced the companies to accelerate their process of digital transformation, such as transferring the work of their employees to homes, the adoption of cloud computing technology, remote meeting technologies, the adoption of electronic stores and digital marketing, and many other digital transformation measures. Of course those services are not free of charge, and it requires companies to bear the brunt of those costs. Universities in Australia provide a perfect example of this. Many universities that receive international students from China have been forced to equip their facilities with distance education programs for international students who have been forced by ongoing circumstances to return to their countries. By making this rapid investment in digital transformation – after the cessation of the coronavirus pandemic – companies cannot simply abandon those investments. They will continue to use them, which is also another reason why digital products will continue to grow in the future.


Third: The experience of changing the work environment and consumption

The experience factor is related to the previous two factors, as companies now discovering the benefits of the digital business environment will continue to develop their digital business model and abandon many traditional business methods. As for consumption, the change is manifested by changing consumer behavior. Millions of consumers did not have any previous experience with the products of digital companies, such as learning, telemedicine, delivery services, and electronic products. The fact that consumers have now experienced consumption through the internet will enable digital companies to enhance their customer base. "The economy of quarantine," (as it is called in China) will develop new consumer habits, as people who have to the opportunity to experience digital services today may become permanent customers in the future.

In spite of the pessimistic news about slowing global growth, the Chinese experience so far shows more positive signs. After the COVID-19 pandemic receded in China, shops are witnessing an increase in their sales volumes above levels recorded in the same period last year. This is an early indicator of the possibility of markets auto-correcting in the period immediately following the end of the health emergency. As the Chinese experience indicates, companies that are now adapting their businesses through digital transformation will achieve future gains, by exploiting the “pent up demand” caused by the period spend under lockdown conditions.

(العربية)(English)

 

L’histoire de CODE41

CODE41 est une jeune marque de l’industrie horlogère suisse. Ce qui la différencie ? Son aspect communautaire, car son objectif est de rassembler des passionnés avec des idées pour qu’elles se réalisent. Chaque supporteur de la marque devient Créateur du projet.

Son fondateur, Claudio D’Amore, a travaillé chez les plus grandes marques d’horlogerie, telles que Tag Heuer ou Montblanc. En 2016, il crée CODE41 fondée sur une politique de transparence totale sur l’origine, les coûts et le développement des montres. Aujourd’hui l’entreprise a réussi à rassembler une communauté de plus de 300 000 membres.

Swiss Arab Entrepreneurs a participé à une journée pour découvrir la dernière montre de CODE41, la DAY41.

Swiss Arab Entrepreneurs (SAE): CODE41, une start-up suisse dans l’industrie horlogère, « un Swiss watch » sur les traces de Nicolas Hayek des années 80 ?

Claudio D’Amore: CODE41, marque suisse lancée il y a à peine 3 ans, est une des jeunes marques qui a le plus fait parler d'elle ces dernières années.

SAE: Pourquoi ce nom, CODE41 ?

Claudio D’Amore: Le 41 est le CODE pays de la Suisse et, en informatique, CODE 41 est une erreur système. Nous aimons bien l’analogie avec notre projet qui représente une anomalie dans le système horloger suisse.

SAE: Est-ce que vous pouvez nous parler de votre parcours professionnel et entrepreneurial ?

Claudio D’Amore: J’ai fait des études de design. J’ai créé des accessoires et du mobilier, mais l’horlogerie m’a toujours passionné et je me suis concentré dans ce secteur. J’ai créé mon propre atelier de design où j’avais 3 employés et je travaillais pour une quarantaine de marques horlogères. Mais ce qui m’intéressait c’est de vivre la création d’une marque de A à Z.

SAE: Comment vous avez eu l’idée de créer CODE41 ?

Claudio D’Amore: A la base, je suis designer horloger mais l’envie de lancer ma propre marque de montre c’est intensifiée d’années en années, seulement ça ne semblait jamais le bon moment (conjoncture, marché saturé,…). Début 2016, dans un contexte d’horlogerie en crise qui souffrait d’une approche trop rigide et trop conservatrice, je me suis dit qu’il était temps de bousculer quelques peu les règles établies tout en étant en phase avec la révolution amorcée par internet. C’est comme ça qu’est né le projet CODE41.

SAE: Réussir en trois années à lancer une montre à succès et conquérir des entreprises horlogères bien ancrées dans le paysage économique suisse, n’est pas une mission facile ? Quels ont sont vos outils / secrets de succès ?

Claudio D’Amore: Croire en ses idées, avoir une vision, ne pas regarder en arrière, les études de marché ne nous permettent pas d’innover, il faut créer, penser différemment.

SAE: Votre business model et votre stratégie de marketing?

Claudio D’Amore: Partager toute les étapes du développement d’une montre avec une communauté de passionnés en étant complètement transparents. Contacter en direct avec les consommateurs et vendre les montres avant de les avoir produites.

SAE: Votre succès est lié au fait que vous avez eu un écho médiatique, ou bien ce sont les fans qui vous soutiennent sur les réseaux sociaux…etc?

Claudio D’Amore: C’est avant tout notre communauté, nous comptons beaucoup sur le bouche-à-oreille. La presse est importante aussi, mais elle ne parlera de vous que si vous avez des choses suffisamment intéressantes à dire. C’est pourquoi il faut innover.

SAE: Pour franchir le mur du silence, et faire connaitre votre projet, vous vous êtes lancé dans une communication osée qui dénonçait le label "Swiss made". Est-ce que vous pouvez nous parler de ce label s’il vous plait, qu’est-ce qu’il signifie ?

Claudio D’Amore: Cette volonté de transparence est d’abord partie d’un sentiment personnel. En tant que consommateur, j’aime comprendre ce que j’achète, qui est derrière et comment c’est fabriqué. Le jour où j’ai découvert qu’une montre Swiss Made pouvait avoir la quasi-totalité de ses composants provenant d’Asie je me suis senti trahi et ce n’est pas le genre de sentiment que je veux provoquer chez une personne qui nous a fait confiance.

Certains ont qualifié notre approche sur la transparence de révolutionnaire. Mais en réalité, nous allons simplement à la base de ce que devrait être une relation client-marque : une explication claire, sans déformation de ce qui est fait. Je pense qu’à moyen et long terme c’est payant car le client n’est pas dupe, il s’informe, compare et commente avant d’acheter.

SAE: Est-ce que vous ne risquez pas d’avoir des contre-attaques ?

Claudio D’Amore: Nous sommes dans la transparence totale, nous n’avons rien à cacher. Nous ne craignons pas les attaques car les autres préfèrent ne pas faire de bruit autour du Swiss Made.

SAE: Vous misez beaucoup sur l’esprit communautaire pour développer votre projet, et vous avez réussi à attirer des fans et des détracteurs très vite. Cette communauté est composée aujourd’hui de 300 000 membres qui partagent les valeurs de CODE41. Est-ce que vous pouvez nous parler de vos fans ? Qui sont vos clients ?

Claudio D’Amore: Ce sont principalement des hommes entre 35 et 50 ans, qui sont déjà amateurs d’horlogerie et possèdent souvent plus de 3 montres. Ces derniers trouvent dans notre projet un moyen d’aller encore plus loin dans leur passion, ils peuvent devenir acteur, donner leur avis, participer et au final porter une montre qu’ils ont co-créée.

SAE: Vous proposez un prix qui est trois ou quatre fois moins cher que les grandes marques, comment est-ce que vous arrivez à cela ?

Claudio D’Amore: Nous avons simplement supprimé certains intermédiaires en vendant directement au client final. De plus nous ne pratiquons pas de positionnement marketing, nous appliquons un multiplicateur fixe au prix de production.

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SAE: Vous parlez des coûts cachés dans l’industrie traditionnelle. Est-ce que vous pouvez nous en dire un peu plus ?

Claudio D’Amore: Le prix d’une montre est généralement établi en estimant qu’elle est sa valeur perçue, autrement dit à combien elle peut se vendre. Dans le luxe, le prix est souvent poussé à la hausse car c’est un signe de qualité. De notre côté nous expliquons les coûts de chaque composants et appliquons un multiplicateur qui nous permet de rentabiliser le projet.

SAE: Pouvez-vous nous parler des différents types de montres que vous proposez à vos clients s’il vous plaît ?

Claudio D’Amore: Nous n’avons que des mouvements mécaniques, car c’est, selon nous, ce qui est le plus magique. Nous avons soit des mouvements standards, fabriqués en grande série et qui ont l’avantage d’être peu couteux, soit des mouvements manufactures qui nous sont propres comme le X41 et qui sont dans l’excellence horlogère avec des petites séries, assemblées à la main et avec des particularités comme la masse périphérique.

SAE: Vous avez des offres pour la clientèle féminine et la jeunesse, lesquelles ?

Claudio D’Amore: A la demande de notre communauté nous avons lancé un projet femme, la DAY41, où seules les femmes avaient le droit de vote. Au final le résultat montre que les femmes apprécient beaucoup les montres mécaniques.

SAE: Quels sont les plus grands défis pour votre projet ?

Claudio D’Amore: Il faut faire notre place sur le long terme. Car dans l’horlogerie beaucoup de personnes ne misent que sur les grandes marques établies. En tant que jeune marque nous devons prouver que nous pouvons apporter de la belle horlogerie sans avoir une histoire centenaire derrière nous.

SAE: Pouvez-vous nous parler de la concurrence chinoise?

Claudio D’Amore: Nous ne sommes pas touchés par la concurrence chinoise.

SAE: Vous utilisez la distribution en ligne directe? Est-ce que c’est votre arme secrète de réussite, pouvez-vous nous en parler plus ?

Claudio D’Amore: Le fait d’être en direct avec le client est effectivement une arme puissante, mais notre arme la plus forte est la création et la proposition de nouvelles idées. Nous allons d’ailleurs prochainement travailler avec des détaillants.

SAE: Quel conseil donnez-vous pour le choix d’une montre ? Comment est-ce que nous pouvons achetez vos montres ?

Claudio D’Amore: Dans les montres il y a beaucoup de choses, mais pour moi la vraie horlogerie est équipée de mouvements mécaniques et non pas électroniques. La montre X41 que nous avons lancée il y a quelques mois représente ce que j’aime le plus en horlogerie, un mouvement exclusif, réalisé 100% en suisse uniquement pour nous et avec des particularités (comme la masse périphérique) maitrisées seulement par une poignée de marques. Nos montres sont disponibles à la vente uniquement sur notre site.

SAE: Est-ce que vous êtes prêt à entendre les idées de vos clients potentiels ? comme par exemple faire une montre haut de gamme avec les mois Hijri – calendrier Arabe ? Ou sinon une conception inspirée de la culture Arabe ?

Claudio D’Amore: Notre projet est basé uniquement sur le fait d’écouter nos clients. Tous les projets que nous lançons sont votés par la communauté. Nous proposons divers projets et nous développons celui qui remporte le plus de vote.

 

 

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