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January 2016
Sunday, 31 January 2016 01:00

Doing business in Saudi Arabia

Saudi Arabia – a nation on the move

Saudi Arabia has long been recognized as a powerhouse of the Middle East. Now’s it’s poised to become one of the world’s top 10 most competitive nations and with that, one of the most lucrative markets for strategic investment.

Published in Doing business

 

 

By: Dr. FAROUK EL-BAZ*

Center for Remote Sensing, Boston University, Boston MA 02215, U.S.A.

1  ABSTRACT

In January 2011, the youth of Egypt revolted against a corrupt government, which lacked vision and imagination.

Published in Economy

Par Sami Ben Mansour

Contrairement à une idée reçue les temps ne sont pas toujours roses pour l’horlogerie suisse. Les principaux coupables : montres intelligentes et réseaux sociaux.

Selon une étude récente du cabinet mondial Deloitte, qui suit régulièrement les tendances du marché de l’horlogerie en Suisse, le pessimisme a atteint son niveau le plus haut depuis 4 ans dans le secteur de l’horlogerie suisse. En effet, 41% des cadres du secteur se montrent pessimistes contre seulement 14% qui gardent leur optimisme. La raison principale ? Le prix moyen des montres suisses exportées qui plafonne à 730 CHF, soit environ 675 euros.

Si la montre suisse pâtit d’un franc suisse de plus en plus fort, perçu comme un risque important par 69% des travailleurs du secteur, les mauvais jours de l’horlogerie helvétique sont causés par l’avènement d’une nouvelle manière de regarder l’heure, et pas seulement : la montre intelligente ou Smartwatch.

Jusque-là peu prise au sérieux par les industriels suisses, la Smartwatch décolle finalement depuis le lancement de l’Apple Watch, la montre connectée d’Apple. Il aura fallu qu’Apple sorte son tant attendu modèle de Smartwatch pour réveiller un marché balbutiant que Samsung et Motorola tentaient de créer avec les premiers modèles de montres connectées jetés dans l’arène. Mais c’est l’arrivée d’Apple, une référence en matière de supports mobiles connectés avec ses célébrissimes iPhone et iPad, pour que tous les yeux se tournent finalement vers ce nouvel objet de tous les désirs qu’est la montre connectée. L’impact de l’Apple Watch est d’autant plus important qu’Apple apporte son énorme bibliothèque d’applications mobiles pour bonne part adaptées à partir des succès commerciaux qui font fureur sur l’iPhone et l’iPad.

Mais pourquoi la montre connectée fait-elle si peur à l’horlogerie classique ? Et qu’est-ce qui fait déprimer autant les professionnels suisses du secteur ?

A la différence d’une montre classique, une montre connectée ne se contente pas de donner l’heure. C’est un véritable compagnon mobile, encore plus performant que votre téléphone puisqu’elle est en permanence scotchée à votre poignet. Avec une Smartwatch, regarder l’heure devient une action banale. Ce qui l’est moins c’est répondre aux appels téléphoniques, rédiger des SMS, recevoir des courriels, se rappeler des événements de son agenda… Mais surtout échanger sur les médias sociaux (Facebook, Twitter…). Et aussi jouer, se divertir… Sans oublier le nouveau marché de la santé et du sport. La montre connectée étant un outil parfait pour surveiller vos calories et mesurer vos prouesses sportives après un cours d’aérobic ou un jogging, tout en vous donnant une foule d’informations très utiles pour améliorer vos performances et vous maintenir en bonne santé.

Sur un plan plus macroéconomique, c’est la baisse de la demande chinoise pour les montres suisses qui inquiète également les professionnels. Surtout lorsque ce gigantesque marché s’intéresse de plus en plus à la montré connectée.

Mais tout n’est pas noir dans le ciel de l’horlogerie suisse qui continue de tirer son épingle du jeu grâce à un segment où ses produits sont réputés et demeurent difficilement imitables : l’horlogerie de luxe.

Pour donner un second souffle à la montre suisse, le rapport de Deloitte recommande l’optimisation des canaux de vente en s’appuyant sur les médias numériques, ce qui constitue un axe stratégique commercial important.

Published in High tech
Friday, 01 January 2016 01:00

Economie, le « modèle suisse »

Par Sami ben Mansour

Dans un contexte économique de crise pour l’Union Européenne, la Suisse semble tirer son épingle du jeu. Certains observateurs dont François Garçon, universitaire et auteur du livre "Le modèle suisse" n’hésitent pas à parler de « miracle suisse ».

Pour ce fin observateur de l’économie et de la société suisses, ce pays est un modèle à suivre dont la force repose sur le dynamisme exceptionnel de ses PME, un système de formation excellent, une élite politique tournée vers l’économie et une gouvernance démocratique populaire qui a des préoccupations économiques parfois pointues.

Une économie vigoureuse portée par des PME dynamiques

En 2014, le taux de croissance économique de la Suisse a bondi à 2%. Plus du double de la croissance de la zone Euro qui n’a pas dépassé 0,9%. A démographie égale, le PIB suisse est deux fois supérieur à celui de la France. Il est également 30% supérieur à celui de l’Allemagne, l’économie la plus puissante de l’Europe. Le chômage (3%) est très faible en Suisse qui affiche aussi l'un des taux de chômage des jeunes entre 15-24 ans (3,6%) les plus bas de monde.

L’économie suisse repose sur des secteurs comme la pharmacie, la chimie, la mécanique de précision, l’horlogerie, et l’industrie alimentaire à haute valeur ajoutée, tous tirés par l’exportation. Le miracle suisse ce sont les PME qui représentent la majorité du tissu industriel.

Un système de formation performant centré sur les métiers

A la fin de la scolarité obligatoire, 70% des jeunes optent pour l’apprentissage dual. Il s’agit d’une filière d’excellence. Les 30% restants se dirigent vers le système universitaire suisse qui compte la seule université d’Europe continentale dans les 30 premiers du classement de Shanghai. Les universités suisses sont fortement cosmopolites : 28% des étudiants sont étrangers [1].

Des élites suisses à forte culture économique

Si la Suisse est business friendly c’est aussi grâce à son personnel politique, composé principalement de petits entrepreneurs, d’agriculteurs, de professions libérales, d’économistes… La Suisse a également adopté la culture économique de l’ « utilisateur-payeur ». Les citoyens se voient plutôt comme des contribuables et les électeurs sont ainsi particulièrement plus vigilants face aux politiques. Il n’est donc pas rare que les électeurs votent, par réalisme économique, pour l’augmentation des impôts pour financer l’amélioration de leur qualité de vie ou pour l’annulation de projets jugés inutiles pour baisser les charges publiques.

Une démocratie directe qui se préoccupe d’économie

La pétition est la pièce maîtresse de l’initiative populaire qui permet aux citoyens suisses de se prononcer aussi souvent qu’ils le souhaitent sur les questions qu’ils estiment importantes. Et l’économie en est une. En 2013, les suisses ont voté à 68% contre les rémunérations abusives des dirigeants d’entreprise.

 

[1] Office fédéral de la statistique

Published in Economy

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